De retour d'Algérie, l'entrepreneur de travaux publics, fait construire un ensemble fabuleux dont la « Villa Algérienne » – entourée d'un parc aux essences exotiques les plus diverses- est l'élément majeur. Au fil des années, Léon Lesca développe et transforme son domaine. Il crée des réservoirs à poissons, exploite la forêt et les parcs à huitres, plante un vignoble, construit une douzaine de maisons pour son personnel, une école, une jetée, un presbytère et une chapelle.
Seuls subsistent aujourd'hui la paroi du fond de la « grotte », un pont en rocaille, deux cuviers et la chapelle Sainte-Marie du Cap.