Telle une sentinelle au bord du Rhône, elle impressionne les visiteurs par ses hauts murs, ses tours et sa position privilégiée. A la fin du XVIIIe siècle, la terreur fait des ravages et le château est pillé.
Au début du XXe, le château fut racheté et restauré en lui conservant son caractère. L'accès à la demeure, suivant la technique médiévale, est coudé, ceci pour éviter l'alignement d'un éventuel bélier poussé par des assaillants. Les deux volées de marches sont séparées par l'emplacement de l'ancien pont-levis.